Band members:
Lionel Beyet: Bass, Samples
Yves Vranckx: Bass, Samples
Vincent De Santos: Drums
Saxophone on Ghost Whale by Bruno Margreth:

Recorded by Mehdi Ayari at Magasin4, Brussels, 20 & 21 January, 2022
Mixed; by Raphaël Terlinden, April-May 2022
Mastered by Nicolas Beyet , June 2022
All tracks by Ghost:Whale
Artwork by Mr Lib

Respect to labels that support us, love you:

FRANCE/BE:
P.O.G.O. - pogorecords.bandcamp.com

FRANCE:
Bonobo stomp - bonobostomp.blogspot.com

FRANCE.
Bitume Records - bitumeprods.bandcamp.com

SWISS:
Urgence Disk - www.urgencedisk.ch - urgencedisk@bluewin.ch

THAILAND:
Tenzenmen - tenzenmen.bandcamp.com

USA:
Forbidden Place Records - forbiddenplacerecords.bandcamp.com

SPECIAL EDITIONS:
SWEDEN
A special edition handmade digipack limited at 33 copies by Clouded Mind Records
cloudedmindrecords.bandcamp.com
www.facebook.com/cloudedmindrecords

USA
Tape edition is available by
The Ashton Velvet Rock Club Recording Company (USA)
avrcrc.bandcamp.com

OUR YUTUBE CHANNEL
www.youtube.com/watch?v=qKC3oFN97AA&list=PLFtGH3IdUh26ETJy1_bdR9bGrHAw4qVym&index=2

INTERVIEW
abreulipe89.wixsite.com/aristocracia/en/post/aristocracy-interview-133-with-belgian-industrial-instrumental-stoner-sludge-band-ghost-whale

REVIEWS:

ALBUM OF THE DAY
Who: Three noiseniks from Brussels who decided
to get together and make some very loud NOIZE.
2 bass players, 1 drummer, 5 earthquakes.
Echo:One is a hell of a sludge stoner doom noise beast.
A manic groove machine. A screwed-up soundtrack for
Judgment Day.
The color is pitch-black.
The mood is brooding.
The sonority is satanic.
The spirit is haunting
The decibels’ level is illegal.
Warning: this record can damage your stereo.
But it’s worth it. Absolutely!
turnupthevolume.blog/2022/07/15/ghostwhale-crush-your-stereo-with-their-instrumental-sludge-stoner-doom-noise

BANDCAMP OF THE DAY: GHOST:WHALE
They’ve recently released a new album, Echo:One, that’s currently available digitally, with physical copies shipping out on September 17. If you’re unfamiliar with sludge, it probably sounds exactly like what you’d imagine from the genre’s name. And maybe the idea of a long trudge through the sludge doesn’t sound appealing at first, remember that this is stoner metal designed to be consumed when lightly toasted. The big, long songs are given a funky edge from a band with just two basses and a drummer, finding really bizarre and creative noises to tickle the senses. And it’s hard to overlook the monumentally epic 27-minute long track, appropriately called “Ghost Whale,” which combines their funky bass tricks with sound effects, samples, and a saxophone. So maybe grab whatever herbal refreshments you can legally obtain in your area and check out this truly unique album.
newnoisemagazine.com/bandcamp-of-the-day-ghostwhale

Unquestionably an instrumental odyssey, Echo:One abounds with fuzzed out, hairy bass licks and down-tempo, jazz-meets-doom drumming. But it’s not exactly your garden variety Sleep or Weedeater derivative – the absence of a guitarist, substituted instead by two bassists, and the use of samples and synthesizers gives the album a more experimental and droning undertone than those initially comparable bands. As an instrumental outfit and album, this further differentiates Ghost:Whale from similar acts, but this pared down instrumentation does somewhat reduce the sense of discreteness between tracks. However, the ample groove effectively keeps one’s interest and the flow of the album overall, no doubt attributable to the band’s improvisational writing and recording practices.
Numbers like “The Other Side” and “Elephant Walk” veer into shades of funk and psychedelic à la Funkadelic or even King Crimson, but the centerpiece of the album is without a doubt the eponymous “Ghost Whale,” a nigh-30-minute epic, which fosters an appropriately cetacean sounding intro, full of trills, pops, and spacious pads. Becoming ever more progressively layered, the basses build on one another as the plangent samples and synths warble in and out of existence. What elevates the song even further is Frau Blücher saxophonist Bruno Margreth adding a welcome, whalelike Blackstar-style flourish to the already notable jazz vibes permeating the album.
Ultimately, what’s laudable about Echo:One is that despite having its roots in the more adumbrated subgenres of metal and noise, it flirts with and makes use of many other genres to inspire fresh flair throughout its Melvillian length. Without laboring to reinvent the wheel, Ghost:Whale nonetheless synthesizes a signature of sorts that defies genre pigeonholing and manages to stand out from similarly sludgy acts.
regenmag.com/reviews/review-ghostwhale-echoone/

Ca commence comme un compteur Geiger en surchauff e monté sur un hybride de Huey et de U-boot pris dans la tourmente d'un orage magnétique et qui ne saurait donc plus s'orienter efficacement, à la limite du point de rupture. Autant dire que les choses paraissent mal engagées. Pas de quoi aff oler Ghost:Whale qui a du répondant dès que tout paraît se dégrader. A se demander même si le groupe Bruxellois ne serait pas capable de provoquer le chaos pour mieux s'en accommoder. Il faut dire qu'ils ont de quoi assurer un beau pandémonium avec une formation commando digne d'une division de panzers, deux basses et une batterie, ça ne se voit pas tous les jours.
Si le groupe est tout jeune, créé début 2021, ses trois snipers ont déjà de la bouteille (normal quand on porte le nom d'une chaîne de caves à bière) puisqu'on a pu les entendre, selon leurs fréquentations, chez Frau Blücher and the Drünken Horses (il faut bien qu'il reste quelque chose de Waterloo dans ces mornes plaines), [P.U.T] ou Missiles Of October, autant dire qu'on est loin des niaiseries atones de Stromae ou d'Angèle. Ghost:Whale, c'est une savante mixture à la cheville avec laquelle la vodka-martini de James Bond ne peut rivaliser, même à la cuillère. Entre sludge, doom, metal, noise, indus ou stoner (ce dernier style étant peut-être le plus abordable, c'est dire), Ghost:Whale pratique l'hypnotisme musical comme Messmer le charlatanisme
mercantile, avec une conviction que quelques kilos de TNT ne
sauraient réduire à néant. Le drone vu par Ghost:Whale a la patience d'une bernique accrochée à son rocher, la force d'un lutteur turc dopé au raki de contrebande, le charisme de Godzilla amoureux fou d'un mégalodon vitrifié par Little Boy, tout en nous entraînant dans des abysses seulement hantés par ces formes fantomatiques rescapées d'âges aussi obscurs que ces grandes profondeurs, là où survivent léviathans et krakens qui ne feraient qu'une bouchée du Nautilus ou du Belgorod. C'est l'impression dominante qui nous envahit à l'écoute de la presque demi-heure de "Ghost:Whale", le morceau, aussi angoissant qu'une voie d'eau par 10 000 mètres de fond malgré, avec ce saxophone (seul invité extérieur au trio sur ce disque) qui se lance dans des expérimentations free jazz qui feraient passer Sun Ra, La Monte Young ou Albert Ayler pour d'aimables musiciens de fanfare villageoise. L'autre demi-heure de "Echo:one" se partage entre quatre morceaux, c'est dire si le plus court d'entre eux est digne d'un opéra de Wagner pour un sectateur sous speed de NOFX, 7 Seconds ou Descendents. Ecouter Ghost:Whale, c'est entrer en transe sans avoir gobé le moindre acide, c'est grimper l'Everest en moins de deux heures sans sherpa et sans assistance respiratoire, c'est se lancer dans un voyage vers la Lune en tongs et en montgolfi ère. Ecouter Ghost:Whale, c'est une expérience qui vous fait ressentir la musique avec l'intensité d'un derviche tourneur, l'introspection d'un anachorète et l'épicurisme d'un acteur porno, tout ensemble pour atteindre à l'extatisme multi-orgasmique, il n'y a pas de petits bénéfices. (...)
la442rue.com/wp-content/uploads/fanzine142.pdf

Attention les amis, voici une bien bonne curiosité que je vous propose là. Une découverte pas piquée des hannetons. Curiosité car le groupe n’a pas de guitare, mais deux basses !!. Amateurs de gros sons gras et lourd, bienvenus ! Pour les autres restez aussi et écoutez cette première sortie pour ce tout nouveau groupe crée en hiver 2021. Cinq titres mais soixante minutes de musique pour le trio composé de Lionel Beyet (basse, samples, également patron du label P.O.G.O Records), Yves Vranckx (basse, samples) et Vincent Desantos (batterie). Membres également des groupes Frau Blücher And The Drunken Horses, [P.U.T] et Missiles Of October, on reconnaît la touche noise rock du trio dans Ghost : Whale même si le nouveau groupe de ces trois-là est bien plus que cela. On peut en effet rajouter du doom, du sludge, du stoner avec des touches d’indus ajoutées par les samples. Il est aussi intéressant de noter avant de rentrer un peu plus en détail dans cet album qu’il a été enregistré en condition live et quasi en one shot.
Uniquement cinq morceaux pour ce premier disque mais ne vous y trompez pas, il s’agit bien d’un album bien rempli d’une heure de musique.
Le premier titre capte notre intention avec d’abord un sample faisant penser à une alarme, répété assez souvent, la montée en tension se fait également par une structure de morceau qui va crescendo. Les deux basses apportant vraiment un côté lourd, sombre et gras comme rarement entendu. Ce côté lourd et gras atteint son summum sur le bien nommé Elephant Walk, Ghost : Whale se faisant pachydermique, très lent et très glauque sur ce morceau. Comme si le doom avait creusé plusieurs mètres sous terre pour trouver un son encore plus ténébreux. Autre pierre angulaire de cet album, et même la pièce maîtresse, le mur porteur, Ghost Whale et ses vingt-sept minutes au compteur touche un peu à tout. L’excellent saxophone de Bruno Margreth apporte un côté noise rock sombre pendant que les basses flirtent avec le stoner doom, la batterie maintient en haleine avec ses frappes à la fois légères et cuivrées.
Le morceau le plus rapide se trouvant à la fin du disque, c’est en effet OneZeroOne qui est joué sur un rythme plus tranchant, trépident. Les deux basses qui se sont souvent suivies sur les qautre autres titres volent ici de leurs propres ailes, font ce qu’elles veulent et proposent chacune leurs propres riffs. Le tout étant parfaitement audible, on se prend à chercher et à gratter la couche du dessus pour bien écouter ce que chacune propose.
Au travers ces cinq titres très riches, les Belges de Ghost : Whale nous ont conquis par leur formation originale, leur son d’une lourdeur défiant toute concurrence et leur capacité à rendre leur musique au combien intéressante par des idées judicieuses (le saxophone), et un talent d’écriture indéniable.
Déjà en préparation de la suite, Ghost : Whale peut compter sur nous ! On sera là au rdv.
www.auxportesdumetal.com/reviews/GhostWhale/ghostwhale-echoone.html

Jeune trio basse/basse/batterie belge (non il n’y a pas d’erreur ici), Ghost:Whale est né fin 2021 sous l’impulsion de membres de Fraü Brücher and the Drunken Horses, Missiles in October et [P.U.T]. Tirant des influences du sludge, du stoner mais aussi de la noise grâce à une utilisation prépondérante de samples, le groupe bruxellois livre sur album une de leurs performances live enregistré au Magasin4 (où il était en résidence en janvier dernier).
« This is not a test, this is an emergency alarm », voilà comment nous accueille Ghost:Whale dès « Fungushima », ouverture anxiogène qui va progressivement installer une ambiance d’apocalypse donnant le ton à ce Echo:One. Faisant répéter les sons d’alarme puis jouant un peu plus tard avec sur fond de riffs grassouillets, le groupe belge nous immerge dans un bunker durant ce qui s’apparente à une attaque nucléaire mais dans un étonnant groove hypnotique.
Le duo de bassistes se montre en effet très à son aise, décuplant l’impact des riffs qu’il déploie. Mais plutôt que rechercher du riff enfumé binaire et répétitif qu’on retrouve chez un bon paquet de groupes estampillés stoner, Ghost:Whale possède un enrobage cinématographique dystopique unique fait de sons distordus et de séquences industrielles et expérimentales (mention à « Ghost Whale » aux vingt-sept minutes (!) où l’on alterne riffs sludge, saxo free jazz et bidouillages sonores irritants).
Si cet album est façonné sur des séquences souvent répétitives, c’est l’ajout de samples (parfois vocaux comme le stressant « vous avez demandé la police, ne quittez pas » sur « OneZeroOne ») qui vient apporter la touche d’angoisse à l’intégralité de cet album où l’inconfort règne en maître. Echo:One est un album peu évident tant son ambiance est oppressante, il demande donc un peu de courage et de persévérance pour s’en imprégner et captiver comme il se doit.
www.eklektik-rock.com/2022/07/ghostwhale-echoone/

Now here's an interesting project that combines the doom and sludge side into an experimental plot and in a way something near industrial in five long topics that hypnotize us over the course of about an hour. The hypnotic factor that stands out even thanks also to a “jam” spirit that runs through all of these themes, a fluidity of who is playing and letting the music lead the way, without having the slightest (seemingly) concern where it will stop. Being instrumental and experimental, it won't be something everyone will please, but the dragged feel of the stoner/doom/sludge is well-served and as such irresistible for fans of the genre.
8.5/10
worldofmetalmag.com/wom-reviews-ufomammut-conan-righteous-fool-ghostwhale

Nagyon kedvelem ennek a belga kiadónak a dolgait, ezért egyértelmű volt, hogy megfogom hallgatni ezt a lemezt. Egyébként ez egy bemutatkozó anyag, szóval nem is nagyon volt mihez kötni. A zenekar tagjai: Yves Vranckx- basszusgitár, sampler, Lionel Beyet- basszusgitár, sampler és Vincent Desantos - dobok, a négyes dalban közreműködik szaxofonon Bruno Margreth. Eleve ez a két basszusos felállás is kíváncsivá tett a lemezzel kapcsolatban.
Az biztos, hogy nem rövidke szerzemények vannak rajta. Az első két dal darabonként eleve 8 perc, szóval volt mit "mondani". Egyébként instrumentális az anyag. Az első Fungushima címűben marha jók a hangminták, mert teremt egy kis sötétséget, a basszusok meg dörmögnek és karcolnak ahol kell. Totál stoneres valami, de valahogy van benne valami egyedi íz is. A második The Other Side-ban viszont már jobban dominálnak basszusgitárok, meg a dob. Az egyik basszus a fő alapot hozza a másik, meg nagyjából olyan gitár helyettesítő érdekességeket művel. Disszonáns, kísérletező zajokkal, kavrinyázással. Nekem kicsit beugrott róla az Om, de azért talán kicsit más ez. Főleg talán a basszus hangjáról, meg az ismétlődő részek miatt kapcsoltam az amerikaiakhoz. A közepén van egy érdekes basszushangzás, mintha egy el és lehangolt szitár lenne. Persze nem az! Az utolsó két percébe meg nagyon beletudtam szakadni.
A harmadik Elephant Walk továbbra is 7 perc feletti cucc, ami tényleg döng és lassan halad, mint egy elefánt. Az alapok alatt érdekes hangok vannak, bár nekem elfért volna még néhány durvább is. Aztán ezután jön egy 27 perces tétel a Ghost Whale, ami azért egy elég nagy sötét massza, stoner, experimental, pszichedélia együtt. Marha jó hangokkal, olyan monotonitással, amibe teljesen el lehet veszni. Tök furcsán fog hangzani, de a hossza ellenére nagy litániát nem tudok róla írni, mert egyszerűen úgy jó ahogy van. Amennyiben a lemezen csak ez a szám lenne, már akkor is oké lenne nekem. Néha volt olyan érzésem, mintha élőben lenne felvéve, a basszusok miatt. Tele van nyomva egyébként "beteg hangokkal". Plusz halad, mint valami teve karaván a sivatagban, ahol az alapok döngése, minta a tevékpatája nyomokat hagy a homokban, majd következő rész, be is fújja homokkal azokat. Aztán a samplerek hangja előre pörget a a karaván elé, hogy lássuk újra az egészet egyben. Marha jó, hogy sikerült szaxofont is belecsempészni. Hatalmas nagy elszállás! Amennyiben csak erre az egyre csavarodik rá valaki, már akkor megéri meghallgatni Főleg ha stoner-es, örvénylő, kicsit sludge-os dolgokat szereti az ember.
Az utolsó OneZeroOne egy tempósabb felvétel a maga 9 percével. Igazán jó hangminták vannak benne, de nekem a második felében lévő töredezett, kiszámíthatatlanabb részek jönnek be igazán. Frankó záró szám, bár én nem akartam, hogy az előző 27 percet "kiüsse" belőlem. Egyébként meghallgattam úgyis, hogy csak a 27 perces felvételt, majd máskor a rövidebbeket, amik nem rövidek. Úgy is nagyon bevált. Ajánlatos meghallgatni.
komakino.blog.hu/2022/07/13/ghost_whale_echo_one

Ghost:Whale, es una banda de Experimental Stoner/Doom Metal Instrumental, procedente de Bruselas. Su fundación tuvo lugar en 2021, mientras que en este año, debutan con su primer trabajo de larga duración, bajo el nombre de “Echo:One”, que vio la luz el 20 de Junio.
El primer corte en sonar es Fungushima, que destaca por su sonoridad tan pesada en la que la palma recae sobretodo en la batería, siendo la que domina a todo el conjunto a su merced. Si algo destaca de esta formación belga, es por carecer de guitarras eléctricas, una situación prácticamente impensable si hablamos de Metal, pero este trío la hace posible. A través de dos bajos, se crea una ambientación oscura a la par que consistente, en la que Ghost:Whale, nos enseñan su personalidad en su máximo esplendor, además, del rumbo que va a tomar todo el plástico. Es una primera toma de contacto bastante interesante. Le sigue The Other Side, donde es el bajo el que nos da la bienvenida, adentrándonos además, dentro de esa atmósfera tan opaca como de lo más penetrante, poco a poco, se incorporan algunos elementos más, que refuerzan a dicha atmósfera, como bien es el caso de la batería, que aporta una faceta más poderosa y contundente no solo a la pista, sino también al trío belga en general. A medida que la canción avanza, apreciaremos como la agrupación, comienza a incluir ese lado más experimental con el que definen a su estilo personal, incluyendo algunos elementos arriesgados a la composición, de este modo, el álbum empieza a enriquecerse un poco más, de hecho, rompen su lado Instrumental, para incluir voces susurradas.
En cambio, en Elephant Walk, los ritmos se agilizan desde el principio, mostrando de este modo, un poco de luz dentro del plástico. Aunque, esta situación dura muy poco, ya que las influencias más puras del Doom Metal, inundan a todas las notas de este tema. Estamos ante un corte, que bebe de manera extraordinaria de las corrientes más primigenias de este subgénero de Metal, aunque la banda, intenta inculcarles lo mejor de su personalidad para dominarlas por completo. Por supuesto, sobresalen esos ritmos tan pausados y una sonoridad pesada a rabiar. De esta manera, podemos apreciar que estamos ante un larga duración muy variado y que Ghost:Whale, es una formación de lo más versátil a la hora de componer sus propias pistas. Llegamos hasta la canción homónima de la banda, Ghost Whale, siendo la más larga del álbum con más de veintisiete minutos de duración. En ella, sacan su lado más creativo, dando lugar a un sinfín de paisajes sonoros que fusionan el Stoner con el Doom Metal de manera salvaje y desenfrenada, gracias en buena parte, a un constante cambio en los ritmos y a un instrumental afilado. Por otra parte, se llega a vislumbrar la “comodidad” y la compenetración de los belgas, donde demuestran que tienen todo calculado al milímetro, apostando además, por otros elementos de lo más llamativos que aportan no solo más interés al tema, sino también una experimentación mayor, que la banda resuelve de manera airosa y brillante, gracias sobretodo, a la ejecución tan pulcra y ordenada que llevan desde el principio, hasta el final del corte. Este es el resultado, de tener las ideas claras y ordenadas, y es que, todo fluye desde el primer instante. Es excelente. Para finalizar, lo hacen a través de OneZeroOne, que se encamina por ese Stoner tan lleno de viveza, en la que la energía se dispara por completo, dando lugar a un dinamismo de lo más impresionante, que se incrementa a lo largo de toda la pista por la introducción de esos elementos tan extravagantes que nos hemos ido encontrando a lo largo de este trabajo.
Sin duda, Ghost:Whale, es una banda de lo más novedosa la cual es mejor que le deis una buena escucha a su primer disco y saquéis vuestras propias conclusiones, ya que su personalidad es digna de admirar, de la misma manera que la pasión que le ponen a sus composiciones tan excéntricas.
diosesdelmetal.org/ghostwhale-echoone-2022/

Debutto molto molto interessante per questo gruppo di Bruxelles, che annovera due bassi, una batteria e tanti ritagli sonori che rendono il gruppo unico.
I membri del gruppo provengono da esperienze importanti in ensemble come il gruppo punk Frau Blücher and the drunken Horses, il gruppo sludge punk noise Missiles of October e il collettivo industrial [P.U.T.]. Tutti questi retroterra musicali sono presenti in questo debutto intitolato “ Echo:one” prodotto da varie realtà come P.O.G.O. Records, Bitube Records, Bonobo Stomp, Urgence Disk, Tenzemen Records e Forbidden Place Records. L’impasto sonoro del gruppo è un industrial ben costuito e strumentale, vicino a qualcosa del Godflesh e dei Jesu, un incedere continuo ed avvolgente, affascinante ed ipnotico, quasi distopico in certi momenti, con le linee dei due bassi e la batteria che vanno ad incontrarsi con dei campionamenti inseriti benissimo e che diventano loro stessi un altro strumento all’interno del gruppo.
Le tracce sono tutte quante di ampio respiro e sono molto ben composte, con trame sonore che si sviluppano in maniera completa e sono tutte da sentire.
Il debutto di questi belgi è molto incisivo ed è la colonna sonora adatta a questi tempi che stiamo vivendo, con il suo rumore e il suo essere industrial in maniera molto diversa dal solito, con uno spirito punk hardcore e tanto da dire.
Non si può citare un episodio migliore ma per rendere l’idea del gruppo i nove minuti ed oltre di “OnezeroOne “ sono forse i più esplicativi per spiegare come i Ghost:Whale creino uno spazio sonoro unico ed inedito, con tantissimi riferimenti e un a fortissima connotazione.
www.iyezine.com/herida-profunda-human-cull-ghostwhale-eremo

ISSUES MAG
commodityfetishrecords.com/__static/620c24cd738ea24813b66d676f50f21a/e63-p08.png

Das Album atmet langsam, aber es klingt angenehm ungesund: „Echo:One“ ist das Debüt der frisch gegründeten belgischen Stoner-Doom-Band mit dem vergnüglichen Namen Ghost:Whale. Mit der Eigenschubladisierung nimmt es das Brüsseler Trio nicht so genau, das macht die Musik so interessant; mit einem Schlagzeug und zwei Bässen, also ohne Gitarren, ist die Kategorisierung auch nicht so einfach, und viele der Einflüsse auf diesem Album resultieren aus dem, was einige der Musiker mit ihren vorherigen Bands so trieben: Industrial, Punk, Sludge – und Noise. Wer in seinem trocken verfuzzten Gemalme ein Saxophon unterbringt, stößt sowieso auf offene Ohren. Monotonie, Wiederholung, Geräusche – ein Tiefenrausch!
Melodien sollte man auf diesem einstündigen Album nicht erwarten. Die fünf Tracks malmen vor sich hin, stoisch, unbeirrt, ungebremst, und doch variantenreich. Wie Atem, entspannt, aber nicht bei bester Gesundheit, rasselnd, schleppend. Es kommt eben darauf an, wann welcher der Musiker mit dem Musizieren aussetzt oder wo er Breaks und Fills setzt, oder auch: Wo die Band – wie im letzten Track – das Tempo doch mal anzieht, nachdem sie sich ewig im Schlenderschritt bewegte. Nach vorn, das auf jeden Fall, die Bewegung ist schon ausgerichtet, nicht orientierungslos. Und die Musik ist staubtrocken, die Bässe fuzzy verzerrt, tief gestimmt, aber nicht heavy gespielt, und das Schlagzeug auf repetetive Dynamik ausgelegt, gelegentliche rhythmisch eingesetzte Samples sowie auf den Saiteninstrumenten erzeugte flirrende Sounds erweitern das Spektrum. Can trifft milde Swans trifft Leute aus der kalifornischen Wüste, und es erstaunt, was auf diesem vermeintlich minimalistischen Album so alles los ist. Eine verspielte Bande, diese Band.
Daher passt der Doom als Genrebezeichnung auch nicht wirklich ins Bild: Die Musik ist, dem Einsatz zweier Bässe und keiner Gitarre geschuldet, rauh, aber nicht hart. So erinnert es zwar schon an die Genueser Mope, wenn im nach der Brüsseler Band benannten halbstündigen Track plötzlich ein Saxophon ertönt, aber Mope sind wesentlich härter und tatsächlich näher am Doom, am Metal überhaupt. Auch Morphine taugen als Band mit Bassdominanz und Saxophon nur marginal als Vergleich, die haben einen anderen Groove und überhaupt Songstruktur. Hier greift das Saxophon beinahe den Walgesang auf, bevor es zu quieken beginnt, und diese musikalische Analogie zum Bandnamen lässt den Kiffer noch breiter grinsen.
Wobei der Bandname unterschiedliche Interpretationen zulässt. Er könnte – nicht zuletzt dem Cover entsprechend – angelehnt sein an Bake-kujira, einen skelettierten Wal der japanischen Mythologie, der sich nicht fangen lässt und der als Unglücksbote auftritt. Es könnte sich auch um eine Roboter-Figur aus dem Universum von Sonic The Hedgehog handeln, einen riesigen Wal, dessen Herz man viermal zerstören muss und sich auf dem Weg dahin in dessen Inneren von Raketen beschossen sieht, logisch. Der Londoner Craft-Beer-Shop hingegen kommt als Referenz eher weniger in Frage. Womöglich ist es schlichtweg die von Dr. Salvatore Cerchio entdeckte und von ihm so benannte Walart Ghost Whale, die hier Pate stand – schließlich ging diese Entdeckung der Bandgründung nur weniger Monate voraus, und schön spooky ist der Name ja.
Diese Bandgründung fand 2021 mitten in der Pandemie statt. Zur Grundausstattung gehören die beiden Bassisten Lionel Beyet (P.O.G.O.-Labelchef sowie von Industrial-, Noise- und Punk-Bands wie Missiles Of October, [P.U.T], Monsters Eaters und No Hope For All) und Yves Vranckx (von dem Punk’n’Roll-Projekt mit dem an Mel Brooks‘ „Frankenstein Junior“ angelehnten Namen Frau Blücher And The Drünken Horses, wo er konsequenterweise Vränckx heißt) und der Schlagzeuger Vincent Desantos, das Saxophon streut Bruno Nono ein. Das Album kommt übrigens auf diversen Labels in unterschiedlichen physischen Editionen heraus. Und es lohn sich!
vanbauseneick.de/krautnick/ghostwhale-echoone-p-o-g-o-records-2022

Rock has walked through various nuances during its long and rich history. Just as we’ve heard the primary melodies inviting to the dancefloor, it’s evolved in various ways, including variations where the sound is rough, powerful and yields nothing. It is at this point where several musicians base their ideas, creating a strong and hypnotic sensation.
Into this rubble. who have managed to start sounding loud is the trio from Brussels called Ghost:Whale, who have the peculiarity of being only one drum and two bass, relying only on the use of samples and a saxophone in one of their tracks. It's a heavy, tense, low-density soundtrack, no time to waste, it's a front attack, Lionel Beyet (bass, samples), Yves Vranckx (bass, samplers) and Vincent Desantos (drums), are the components of this group, with a sound on Where stoner rock, doom metal, sludge meet and noise.
Originally members of bands such as Frau Blücher And The Drünken Horses, [P.U.T] and Missiles of October, came together to record and at the beginning of the year secretly recorded the tracks belonging to their first recording Echo: One, which is said to be gra bado live and practically in one shot. Evidently, the influences of their members have to do with what they do in their bands, which go on the same sounds.
Five tracks in just over an hour duration is the disc, in which no one expects virtuous experiments or melodic protagonist exercises, here is nothing that, on the contrary, is sound in brute force, low frequency, constant tension, is a record to listen to with headphones and in the dark.
The first track is Fungushima (08:03), with a plate of samplers creating a heavy ambiance, giving in to the monolithic sound of speakers and a raw drumming. They immediately stop feeling with everything, there are no concessions. The Other Side (08:43), is an immediate assault, taking advantage of the sound resources they have at hand in violent changes of everyone and rhythms, a wild crash to the ears. Elephant Walk (07:46), is the "shortest" topic, but it doesn't fail to be powerful, being literally the recreation of the walk of a heavy elephant, creating a sense of danger. Ghost Whale (27:07), is a lengthy odyssey that also hits brutally, nothing fancy, with the entrance of a demented saxophone gracing the space courtesy of Bruno Margeth. Lastly, OneZeroOne, is a track that has a more melodious start, but it slowly takes direction where the band wants, a single that also rumbles and creates a tense atmosphere.
The trio doesn't give up on the goal in the way of doing what they want and how they want, immediately showing the cards on the table, so those who enjoy the sounds already mentioned, this record is going to hit you. The album has been edited both digital and physical formats
ko-fi.com/post/MUSICA-GHOSTWHALE-LANZA-SU-DISCO-ECHOONE-G2G0F3B7M

Erfrischender weise verstehen es GHOST:WHALE, schöne Melodielinien in ihre überwiegend im unteren Tempobereich angesiedelte Musik einzubinden. Und so sind auch die Tracks überaus gelungen und glänzen mit durchdachten Arrangements und viel Abwechslung. Die Instrumentalabteilung agiert dabei bodenständig und fehlerfrei und die Spielfreude ist GHOST:WHALE wirklich anzumerken. Das Album wird durch "OneZeroOne" abgeschlossen, welches den Hörer wieder zur Ruhe kommen lässt und auf die darauf folgende Stille vorbereitet. Die Songs sind wirklich abwechslungsreich, passen aber dennoch zueinander und bilden eine Einheit. Es ist schwer, bei so hohem Niveau irgendwo mit dem Lob anzusetzen: Intensive Melodien finden sich auch auf "Echo:One" wie Sand am Meer. Ein Klang, der so kraftvoll und trotzdem detailreich daher kommt, ist nicht einmal bei Profi-Produktionen selbstverständlich. 8/10
www.metal-division-magazine.com/cd-reviews/cd-reviews-g/ghost-whale-echo-one

Belgian band Ghost:Whale released the album "Echo:One" back in the summer of 2022, and hard rock is possibly the best manner in which to describe the music on this production. The line-up of this band is a bit on the different side of matters with drums, two bass guitars supplemented by samples and a guest musician on saxophone. The compositions revolve around settling and setting a groove and exploring that mood and atmosphere, with samples and the saxophone adding additional elements both for the purpose of variation but also to uphold tension and enhance and emphasize the mood and atmosphere. Thus we have spoken voice samples, electronic effects that sounds like a sonar, more distorted and slightly atonal effects of the kind that comes with automatic associations to actual whale song and a slew of additional minor and a few major effects that ensures that the tension an interest is maintained while the groove maintains momentum and drive. It is a much more fascinating journey than mere words can convey, and rather more interesting and intriguing than the descriptions will be able to highlight. That we have one song that clocks in at a beefy 27 minutes that still feels that it didn't run out of ideas along the way is perhaps the best manner in which to exemplify this. If a rumbling slice of instrumental and experimental bass and drums driven stoner rock with a solid groove-oriented swagger sounds interesting for you, this is an album worth getting familiar with.
www.facebook.com/wildernessviking

Now, it’s time for us to listen and enjoy something interesting and particularly amazing! Based in Brussels, the trio uniquely named Ghost:Whale bring us what they claim to be Instrumental Stoner Doom Sludge Noise. “Echo:One” is their one hour debut album, comprising 5 lengthy tracks including one epic 27-minute song. Heavy and loud sound. Sublime songwriting with highly creative music arrangements. Intensely groovy double distorted basses (by Lionel Beyet and Yves Vranckx). Profoundly solid drumming by Vincent De Santos. The addition of effects and samples that further enhance the brilliance of their songs. Ghost:Whale has brought out their music to a broader definition, daring to vary and innovate without limits and restrictions. Inhale your weed and fly to the tunes of “Echo:One”. Fantastic at all means!
revealfanzine.blogspot.com/2023/05/ghostwhale-fl2022.html

Si vous n’êtes pas paléontologue fiez-vous au titre de l’opus : la pochette représente un crâne de baleine, et puisqu’elle a une belle rangée de canines à rendre fou de joie les dentistes nous hypothésons de cachalot. Ouvrez la pochette, le dessin est de Mr Lib, alias Lionel Beyet. Magnifiques ces occiputs de cétacées métamorphosées en têtes chercheuses d’Hydre de Lerne ou en doigts effilés de mains inquisitrices.
Charmantes petites bébêtes je vous l’accorde, mais vous ne pouvez pas trouver de plus gros indice quant au projet du groupe. Tout le monde a entendu un enregistrement de chants de baleines. Elles chantent certes, mais peut-être leur chant comporte-t-il des paroles, disons des messages, des signaux, bref un langage plus ou moins élaboré. Ghost : Whale ne chante pas, leurs morceaux sont instrumentaux, ils créent de la musique, pas de mélodie, ils cherchent des sons, ils trouvent des sonorités. A l’auditeur de les interpréter à sa guise, de donner signifiance à ce qui n’est, à ce qui ne se veut, ni kaos, ni ordre, tout au plus des structures qui se suffisent à elles-mêmes, une courbe sur une feuille de papier, la rotondité d’un caillou, le profil d’un nuage, des formes qui au-delà de leur concrétude rejoignent l’abstraction pure.
Prononcez le mot baleine et nos esprits occidentaux se représentent Moby Dick la baleine blanche de Melville. Le japonais embrayera sur Bake Kujira, littéralement baleine-fantôme, qui serait apparue à des pêcheurs qui auraient tenté en vain de la harponner. Elle était blanche et les harpons la traversèrent sans la blesser, d’où l’idée d’un squelette de baleine, il devait rester quelques lambeaux de chair puisque la légende conte qu’elle était suivie par des centaines de poissons et d’oiseaux…
Fungushima : le mot évoque autant la catastrophe de Fukushima, tsunami sur une centrale nucléaire d’où par dérivation atomique Hiroshima, que les paysages cartes postales de rizières étagées sur les flancs des montagnes… n’oublions pas que les japonais sont les derniers grands chasseurs de baleines… : pourtant dans une interview Ghost :Whale ne revendique pas tous ces faits comme des préalables à la création de ce morceau, le processus aurait été inverse, le titre aurait procédé d’un son qui ressemblait au bruit émis par un compteur Geiger, détecteur de radioactivité, n’empêche qu’entendant cette piste sans avoir pris connaissance du titre, j’ai tout de suite pensé à une noria d’hélicoptères déversant du ciment, non pas sur le réacteur de Fukushima mais sur un barrage ariégeois qui avait besoin d’être consolidé alors que je me trouvais avec des enfants dans la coulée naturelle d’épanchement des eaux… comme quoi même sans mot les phénomènes sonores parlent la langue de celui qui les écoute. Ceci mis à part, grâce à l’excellence du batteur l’auditeur ne sera pas dépaysé, les bruits électroniques divers, les marteaux piqueurs et les avions fusées ne le gêneront pas, l’on n’est pas loin d’un morceau d’heavy metal, sans guitare certes, mais l’ensemble reste d’une facture conventionnelle. The other side : l’autre côté de rien du tout, l’est vrai que l’on est dans la suite directe du précédent, mais il y a des bruits frisotants qui s’adjugent la place d’une lead guitar, les deux basses jalouses ramènent bien leur jus noir et leur plancher d’ébène, mais Ghost : Whale trouve toujours l’oriflamme d’un bruit à rajouter par-dessus, un sample de quelques mots joue le rôle du vocal, et ça repart comme en quatorze avec des glissements de shrapnels étincelants. Terminus, tout le monde descend. Elephant’s walk : l’on attend la lourdeur du rythme, davantage inattendu ce bruit de tubulure, le saxophone de Bruno Margreth qui bientôt se met à barrir comme un éléphant, les basses jouent à l’élastique, le sax barrit Lindon et barrit chien-loup, il pulse rugueusement de l’air par les narines, les basses en profitent pour faire trembler le sol sous leurs pattes mastodontiques ( retour de la vieille harmonie imitative de la prosodie classique ), se remémorer la marche lourde des éléphants de Leconte de Lisle qui traversent les étendues sableuses ( c’est leur côté stoner rock du désert ), en tout cas plus ils s’éloignent plus ils font du bruit, faudrait une formule mathématique pour expliquer ce phénomène de suramplification lointaine. Maintenant c’est tout le troupeau qui barrit, les éléphants ça trompe magnifiquement, le sax culmine en un énorme gargouillement, j’espère qu’ils ont prévu une tente à oxygène pour les premiers secours car ce cracheur de poumons Margreth a donné tout ce qu’il avait et tout ce qu’il n’avait pas, une performance. Ces trois morceaux ne heurteront en rien les tympans des auditeurs tant soit peu habitués aux outrances du noise et à la froideur de la musique industrielle. Ghost Whale : Attention nous entrons dans le dur, un titre de vingt-sept minutes, pris sur le vif, un enregistrement en studio live, à la manière de leurs concerts : compteur Geiger, et souffles du vent sur la mer, le tambour entrechoque incessamment des épaves sur des brisants, ruissellement d’écumes, cris lointains d’oiseaux, changement de climat, nouvelle séquence, tambourinade effrénée, presque lyrique, moteur d’hydravion, l’on est parti pour une grande aventure, l’étrave des cymbales zèbre l’élément salé, jusqu’au bout du bout, cris inarticulés, est-ce un monstre marin ou une poulie de la voilure qui grince, l’on s’installe dans un ronronnement régulier, toujours ce bruit, ce cri d’on ne sait quoi, d’on ne sait qui, quelqu’un de l’équipage répare une tôle à coups de marteau, la cadence faiblit, les cymbales rament à mort pour redonner de l’énergie au mou, n’y parviennent pas trop, l’on traverse sans doute une zone sargassique, l’on pointe vers l’immobilité, le moteur glougloute, doit y avoir un problème à l’arrivée du kéro, une note claire mais comme écrasée, une imitation du sax de Bruno Margreth, ne barrit plus, joue à la trompette bouchée des jazzmen, l’est un canard qui essaie de nous coincouiner un solo d’anthologie, ne se débrouille pas mal, n’est pas Armstrong mais il a l’âme strong, en tout cas par miracle le moteur a repris de la force, n’est pas au maximum, il peine, mais il s’entête, le volatile essoufflé s’est tu ; le battement de l’hélice a pris sa place, l’on avance avec difficulté mais l’on avance, l’on traverse de grosses vagues moutonnières, la carène bruisse lourdement, difficulté de l’épreuve, victoire l’on a repris le bon rythme, pas de pointe, mais de croisière, la batterie hoquette, tout va très bien, le tambour des eaux retentit, pas le moment de se décourager au milieu de l’aventure, vingt mille lieues sur les mers et la migration de baleines en vue, l’on entend leur cris qui se perdent, non les revoici, elles ne nous échapperont plus, affûtez vos canons harpons, la mer se teintera de sang, entendez ces satanés animaux s’égosiller, que de criailleries pour mourir, un peu de dignité demoiselles, l’homme est un loup pour les baleines, les cachalots se cachent à l’eau mais on sait les repérer, du calme, pas le moment de s’énerver, l’on en profite pour relire Pawana de J. M. G. Le Clézio. Tout va bien l’ombre noire de la mort pousse son chant du cygne. Vous aurez beau ôter ce sens l’on saura le retrouver. OneZeroOne : ce n’est pas une allusion au principe de base de nos ordinateurs mais l’indicatif d’appel de la police japonaise : rythme ternaire, ne vous affolez pas l’on vous écoute, répète le sample, ne quittez pas l’on s’occupe de vous, vous enclenchez une mécanique, ne vous étonnez pas si elle se met en place, les secours viennent à vous, nous allons vous remettre dans le droit chemin que vous avez perdu, c’est bellement hypnotique et rassurant, un peu comme le cobra du voisin surgi de la cuvette WC car il vient vous rendre une visite, ne vous quitte plus des yeux, big brother is watching you, le sample reprend, des bruits sur votre porte d’entrée que l’on est en train de forcer, ne vous affolez pas le cobra est un drone envoyé pour surveiller vos moindres gestes, attention il est capable de s’insinuer dans votre cerveau et de lire vos pensées les plus secrètes. Terriblement inquiétant, je vais composer le 101, on ne sait jamais, mieux vaut prévenir que guérir.
Une écoute – et même plusieurs - s’imposent, vous n’avez pas le temps de beyet aux corneilles, z’avez beau essayer d’y échapper, vous ne pouvez vous empêcher de penser aux baleines, la musique pure existe-t-elle, serait-elle produite industriellement par l’ Intelligence Artificielle, le Moby Dick de votre pensée n’en finit pas de tourner dans le bocal de votre boîte crânienne. Etrangement tout cela nous fait penser au débat sur la poésie pure dans le premier quart du vingtième siècle dans ce même moment où Luigi Russolo écrivait L’Art des Bruits.
chroniquesdepourpre.hautetfort.com/archive/2023/05/index.html

Echo:One is het debuutalbum van de Brusselse industrial / noise / doom / sludge-act Ghost:Whale die vorig jaar werd opgericht en bestaat uit Lionel Beyet, Yves Vranckx en Vincent De Santos. Het trio mixt logge basgitaren, drums en samples (waarbij ook vocale) tot een heel eigen geluid dat ze omschrijven als "instrumental stoner doom sludge noise". Echo:One is het eerste album van de band, en bevat vijf nummers die meer dan een uur aan muziek beslaan.
Je herkent inderdaad een punkbenadering (of in elk geval een sterke do-it-yourself-houding) want het trio bestaat uit leden van de punkband Frau Blücher And The Drunken Horses, de sludge punk noise act Missiles Of October en de industrial sludge act [P.U.T]. Het album is in januari van dit jaar opgenomen in twee dagen tijd, in Magasin 4 in de thuisstad.
Het lijkt me duidelijk dat de dubbele basgitaar-aanval de hoofdrol voor zich opeist binnen het totaalgeluid. Dat levert een heerlijk laag-brommend geluid op, waar doorheen de drums het ritme aangeven, als het ware de lijnen uitzet. Afwisseling is spaarzaam qua tempo, maar die subtiele wisselingen zijn hier wel van belang. De variatie moet vooral komen van de samples, om te voorkomen dat je het gevoel hebt dat je naar een langgerekte soundscape zit te luisteren. Gelukkig heeft het trio dat prima in de smiezen. Zo opent Fungushima lekker opzwepend, waarna op The Other Side meer de nadruk wordt gelegd op de wisselwerking tussen de twee basgitaren.
In het lange (27 minuten!) titelnummer Ghost Whale gooit het drietal er ook nog een saxofoon (gastbijdrage van Bruno Margreth) doorheen, dat een vervreemdend en wat onheilspellend effect geeft. Het is de slagroom op de bezwerende taart, en geeft een lekkere psychedelische vibe mee, zeker in combinatie met de samples.
Ghost:Whale was voor mij een verrassing, maar met Echo:One wel een hele aangename kennismaking. Laat je niet weerhouden door de gedachte aan 'slechts' basgitaar en drums, want dit Brusselse trio weet daar verrassend interessante verhaaltjes mee te vertellen.
www.wingsofdeath.net/Ghost-Whale-Echo-One

Le 1er album du trio instrumentale bruxellois Ghost:Whale (2 basse et un batteur), né en octobre 2021, composé de membres du groupe punk « Frau Blücher and the drinking Horses », du sludge punk noise de « Missiles of October » et du sludge industriel de « P.U.T » décapsule un disque de sludge stoner industrial noise.
Via les labels Bonobo stomp (fr) Bitume (Fr) POGO (be/fr) @Urgence disk (Ch) Clouded Mind Records (Sweden) pour une sortie Européenne en CD et K7, le disque s’attache à coups de samplers, des mélodies abrasives à charcuter le beat, à corroder toute la surface sonore, à ronger jusqu’à l’os ce côté brut, couleur gris béton d’une densité indus, mais jamais lisse. Il y a des coups de ratures, cet écho lointain au psychédélisme, de celui qui vient d’une manufacture en friche, ou un vieux bluesmen de Chicago viendrait buriner les murs de son errance, avec un punk en train de hurler de rage.
Il y a 5 titres, dont 4 qui tournent autour des 8mn, et seul « Ghost Whale » fait 27mn, les séquences allongent leur uppercut, c’est souvent une transe de collision punk avec du papier verre noise
wallabirzine.blog.free.fr

CAFZIC #84
www.calameo.com/read/0020548596a0921b43077?fbclid=IwAR2BhEKwLVv0VDabkN22SJL_bm57So1H2Y6vh-pnCrVRyu3sKSZwiPEpVW4

GHOST:WHALE ist eine neue Band aus Brüssel, die im Oktober 2021 gegründet wurde und sich aus Mitgliedern der Punkband „Frau Blücher and the Drunken Horses“, Sludge-Punk-Noise „Missiles of October“ und Industrial Sludge „[P.U.T]“ zusammensetzt.
GHOST:WHALE besteht aus zwei Bassisten, einem Schlagzeuger und Samples für die industriellen Sludge-Instrumental-Stoner-Geräusche.
Das erste Album wurde vom 20. bis 21. Januar 2022 im Magasin4 aufgenommen, gefolgt von einem Abschlusskonzert am 22. Januar.
Der Sound ist angesiedelt zwischen repetitiven Kraut-Elementen, postrockigen Klangstrukturen und Sonic Youth bekanntem Noiserock. Hier gibt es viel zu entdecken und hoffentlich in Zukunft noch mehr zu hören.
www.amplified-mag.de/index.php/reviews/ghost-whale-eine-postrockige-kraut-noise-mischung

PLAYLIST
kfuel.org/radio/playlist-07-07-2022-odessa-tiendra-coute-que-coute
www.mixcloud.com/Edable/loose-canon-monday-27th-june-2022-444
metaltavernradio.com/hordes-of-chaos-feat-dj-anubis-dj-neko-episode-181
soundcloud.com/pogolocopodcast/pogoloco-2022-09-29-180232
A Golpes de Rock 169
www.ivoox.com/a-golpes-rock-169-23-09-2022-audios-mp3_rf_92867218_1.html
Vallis Mortem (mx)
go.ivoox.com/rf/92602831
camembert electrique
www.mixcloud.com/camembertelectriqueradioshow/camembert-%C3%A9lectrique-the-radio-show-021-mezz%C3%A9
Hordes of Chaos- (feat DJ Anubis & DJ Neko) Episode #181:
metaltavernradio.com/hordes-of-chaos-feat-dj-anubis-dj-neko-episode-181
www.ivoox.com/noche-lobos-453-emitida-19-12-2022-richard-de-audios-mp3_rf_100069081_1.html
www.mixcloud.com/Runderground/runderground-20230426-belgium-one-point-part14

THEY TALK ABOUT
www.metalnews.fr/news/instrumental-sludge-stoner-doom-noise-ghostwhale-echoone-out-now

doomed-nation.com/belgian-instrumental-sludge-stoner-doom-noise-trio-ghostwhale-dropped-their-debut-album-echoone

www.concertmonkey.be/news/ghostwhale-instrumental-stoner-doom-sludge-noise-band-brussels

thoughtswordsaction.com/2022/06/22/ghostwhale-release-debut-echoone-lp

punk-2012.blogspot.com/2022/06/ghostwhale-es-una-nueva-banda-belga.html

www.metal-archives.com/bands/Ghost%3AWhale/3540508125

www.shootmeagain.com/readnews/79046_lepremieralbumdeghostwhaleaprixlibre

entijuanarevista.wixsite.com/entijuanahayrock/post/ghost-whale-lanza-su-disco-echo-one

dequeruza.ar/instrumental-sludge-stoner-doom-noise-ghostwhale-echoone-out-now/

www.side-line.com/belgian-industrial-noise-trio-ghostwhale-lands-debut-album-echoone

throneofabsence.wordpress.com/2022/11/30/ghostwhale-echoone